Ce mois-ci, nous avons lu Le Chant du Rossignol de Kristin Hannah. Et voici ce que nous en avons pensé…
Le résumé de l’éditeur
France, 1939. Dans un village de la Loire, Vianne Mauriac fait ses adieux à son mari, qui part au front, et se retrouve seule avec sa fille. Très vite, elle est forcée d’accueillir un officier allemand sous son toit. Elle choisit de protéger sa fille avant tout, quel qu’en soit le prix… Sa sœur cadette, Isabelle, dix-huit ans, s’installe à Paris le jour de l’entrée des Allemands dans la ville. Impétueuse et pleine d’idéaux, elle s’engage dans la Résistance sous le nom de code « Le Rossignol ». Deux sœurs, deux destins, chacune jouant sa propre survie dans la France occupée par les nazis. Véritable best-seller aux États-Unis (un million d’exemplaires vendus), Le Chant du Rossignol est un grand roman sur l’amour, la liberté, les idéaux et sur le rôle des femmes pendant la guerre.
Nos avis
Tatiana a beaucoup aimé ce roman. Elle a apprécié le fait de connaître le point de vue de personnes civiles ayant connu la guerre, que les femmes aient une place prépondérante dans l’histoire. Certains passages l’ont beaucoup ému.
Clémence n’est pas allée au bout du livre. Elle l’a trouvé fade, plein de clichés. Peut-être parce qu’elle vient de terminer Seul dans Berlin de Hans Fallada qui lui, nous plonge totalement dans la Seconde Guerre Mondiale.
Elisa non plus n’a pas pu aller au bout de cette histoire. Elle a trouvé ça un peu caricatural, historiquement un peu faible. Pour elle, c’était dur d’y revenir, elle a donc préféré abandonner.
Irina l’a lu sans relâche, même si elle lui a trouvé un côté caricatural aussi. Les personnages accumulent les faits de résistance, ce qui peu paraître peu crédible.
Mathilde ne l’a pas terminé. En raison de son sujet, elle avait un a priori sur ce roman qui l’empêchait de se mettre dedans. Maintenant, elle y est et est à fond !
Anelise avait déjà lu et adoré ce roman. Elle se souvient qu’elle avait pleuré à la fin ! Elle a été gênée par quelques détails historiques un peu loufoques, en revanche.
Hermine a eu beaucoup de mal à rentrer dedans. J’ai commencé à m’intéresser un peu à l’histoire au moment où les choses s’accélèrent, où Isabelle entre en Résistance. Dans l’ensemble, trop de passages sonnaient faux selon moi et cela me sortait de ma lecture (fait qu’Isabelle tombe sur le discours de De Gaulle pile au moment où elle branche la BBC, qu’elle parvienne sans difficultés à devenir passeuse)… Le style de l’auteur m’a paru plat et dénué d’émotions.
